Ce livre parle de l’aventure napoléonienne telle qu’elle a bercé mes rêves d’enfant. Nés avec les petits soldats en plastique que m’offraient mes parents, ces rêves ont survécu aux années et se sont épanouis sous la forme d’une vaste collection, puis d’un ensemble de récits imaginaires. Mais il ne s’agit pas là d’un document à […]
Catégorie : Historia magna
Vous trouverez dans cette section de courtes notices informatives illustrées sur l’Armée napoléonienne et les guerres de l’Empire.
Les musiciens de l’armée impériale
La musique existait dans pratiquement tous les corps de l’armée impériale. Mais elle comprenait deux catégories très distinctes de personnels : d’une part les musiciens proprement dits, à la fonction plutôt décorative, et d’autre part les instrumentistes aux fonctions strictement militaires. Les musiciens de régiments et d’Etat-major n’étaient pas des soldats à proprement parler. Leur […]
La garde impériale à pied
Créée en 1804 à partir de l’ancienne Garde consulaire, la Garde Impériale constituait une armée en modèle réduit. Elle comprenait en effet à la fois un état-major, de l’infanterie, de la cavalerie, de l’artillerie, du génie, de la gendarmerie et même … des marins. Ses effectifs s’accrurent fortement au cours des premières années de l’Empire, […]
La garde impériale à cheval
Vers 1810, elle était principalement constituée des unités suivantes : les grenadiers, les chasseurs les mamelouks, les chevau-légers lanciers, les dragons, les gendarmes d’élite, l’artillerie. Les grenadiers à cheval portaient un uniforme très proche de celui des grenadiers à pied de la Garde, avec toutefois quelques différences : absence de plaque sur le bonnet d’ourson, […]
L’infanterie impériale
Représentant une large majorité des effectifs de l’armée impériale, l’infanterie se décomposait en deux catégories nominales : l’infanterie de ligne et l’infanterie légère. Celles-ci se distinguaient assez nettement par l’uniforme, mais pas vraiment par leur fonction militaire, ni par l’armement (le fusil de l’infanterie légère étant cependant un peu plus court). On comptait dans la […]
Directement issue du système dit « Gribeauval » mis en place dans l’armée française en 1776, l’artillerie comprenait des unités fixes (places et côtes) et des unités mobiles, dite « d’artillerie de campagne ». Celle-ci se composait de pièces de 4, 8, 12 et d’obusiers de 6 pouces. Chaque pièce nécessitait le service de 8 […]
La cavalerie impériale
Cette arme se subdivisant en trois catégories : la grosse cavalerie, la cavalerie de ligne et la cavalerie légère. La cavalerie lourde Elle était essentiellement constituée des cuirassiers et des carabiniers, auxquels ont peut adjoindre les grenadiers à cheval de la Garde (voir la fiche Garde impériale). Elle était conçue comme un corps de réserve […]
Grades et uniformes Les grades supérieurs de l’armée napoléonienne étaient les suivants : général de division, de brigade, adjudant général, colonel. Le maréchalat n’était pas à proprement parler un grade militaire, mais constituait une condition de facto pour l’accès aux plus hautes fonctions, comme celles de chef de corps d’armée. Les lieutenants les plus connus […]
Sources bibliographiques
Sources bibliographique des « Chroniques napoléoniennes »[1] 1. Livres Baron Larrey, 2004 (rééd.), Mémoires de campagne 1786-1811, rééditées dans la bibliothèque napoléonienne, éditions Tallandier Baron Larrey, 2004 (rééd.), Mémoires de campagne 1812-1840, rééditées dans la bibliothèque napoléonienne, éditions Tallandier Barrès, Jean-Baptiste, 2004, Souvenirs d’un officier de la Grande-Armée, Publiés par Maurice Barrès, son petit-fils, en […]