La plupart d’entre nous vont à Cuba pour se détendre, apprendre à danser, profiter des plages et du soleil. Quoi de mal à cela ? Mais Cuba est aussi un pays dont la population souffre de très graves pénuries matérielles.
La situation des artistes professionnels – danseurs et musiciens,- et des lieux de culture – théâtres, écoles d’art, maisons de la culture – y est particulièrement critique. Les compagnies professionnelles de danse, par exemple, manquent à peu près de tout pour préparer les spectacles que nous aimons tant : chaussures, lieux de répétition bien équipés, serviettes, savons, ventilateurs, équipements audio-visuels…
La situation des artistes professionnels – danseurs et musiciens,- et des lieux de culture – théâtres, écoles d’art, maisons de la culture – y est particulièrement critique. Les compagnies professionnelles de danse, par exemple, manquent à peu près de tout pour préparer les spectacles que nous aimons tant : chaussures, lieux de répétition bien équipés, serviettes, savons, ventilateurs, équipements audio-visuels…Une association de Salsa de la région parisienne, Soy Cuba, a donc décidé de mettre en place un projet de coopération pour aider matériellement ceux qui oeuvrent quotidiennement là-bas pour faire vivre la magnifique danse populaire cubaine. L’idée est simple dans sa générosité : l’argent recueilli à travers les cours les soirées de l’association est utilisé pour financer des petits projets de coopération avec des institutions culturelles de Santiago de Cuba.
Lors de mon passage à Santiago, en juillet dernier j’ai pu rencontrer Fabien Figueres, président de l’association, qui se trouvait alors sur place pour coordonner ce projet.
J’ai tiré de cette rencontre un documentaire vidéo sur cette initiative que je vous proposer de visionner en cliquant sur le lien suivant : salsasolidaire
J’ai également rédigé sur le même sujet un article, que je vous proposer de visionner en cliquant sur le lien suivant : Soyécrit.
Fabrice Hatem