Ça, c’est ce que disent les voleurs collectivistes qui veulent s’approprier le bien d’autrui au nom du bien commun.
Mais la vérité est bien différente. Qu’est-ce, en effet, que la propriété ?
Habituellement, la propriété est définie comme le droit d’user et d’abuser d’un bien à sa guise. Mais elle pourrait également se définir, de manière en quelque sorte symétrique, comme la responsabilité, exercée par une personne privée, d’entretenir et de valoriser une partie du patrimoine existant.
Donc la propriété n’est pas seulement un droit. C’est, de facto, un ensemble de responsabilités concrètes qui constituent la contrepartie et la justification à la fois morale et pratique de ce droit.
Certaines personnes chanceuses échappent pour l’essentiel à l’exercice de ces responsabilités. On les appelle « les pauvres ». D’autres, moins favorisées par le sort, doivent assumer des responsabilités plus larges. On les appelle « les gros et moyens propriétaires », ou bien encore « les riches ».
Ces malheureux sont exposés à un faisceau de préoccupations épuisantes : il leur faut entretenir les biens, en assurer la valorisation, optimiser la structure de leur patrimoine, payer les lourds impôts les affectant, affronter les entreprises spoliatrices des voleurs illégaux ou légaux (ces derniers s’auto-désignant comme « communistes » ou « socialistes »), tout en étant exposés à l’envie et à la jalousie des non – propriétaires.
Et pourtant, malgré tous ces tracas, ils sont poussés par un instinct mystérieux à prendre soin de leur bien, à entretenir leur maison, à développer leur entreprise, à cultiver leur champ.
C’est pour cela que les pays où la propriété privée est bien défendue sont emplis de maisons pimpantes, de campagnes bien entretenues et d’entreprises prospères.
Il arrive cependant que les voleurs collectivistes parviennent, sous prétexte d’égalité, à dépouiller les propriétaires de leurs biens, dont ils confient alors la gestion à des fonctionnaires.
Leur idée absurde est que ces fonctionnaires indifférents et irresponsables dirigés par des politiciens dogmatiques ou opportunistes s’occuperont plus efficacement de ces biens que leurs propriétaires dévoués, viscéralement attachés à leur maison, à leur entreprise ou à leur terre.
Le résultat, bien sûr, ne se fait pas attendre : les maisons tombent en ruine, les champs ne sont plus labourés et les entreprises ne produisent plus rien, faute d’une personne vraiment désireuse que les choses fonctionnent.
C’est exactement ce que l’on a observé dans TOUS les régimes communistes. A l’inverse, dès que les anciens régimes communistes sont renversés et que la propriété privée est rétablie, la prospérité revient comme par enchantement, comme aujourd’hui en Chine. Tout simplement parce que les propriétaires se remettent spontanément à assumer les responsabilités qui sont attachées à leurs droits.
Le monde entier semble aujourd’hui avoir compris ce message …. mis à part les dirigeants nord-coréens et quelques communistes et gauchistes français qui continuent à rêver du grand soir de la collectivisation généralisée – sans oublier nos dirigeants macronistes persécuteurs des petits propriétaires immobiliers !!!! C’est vraiment injuste, trop injuste !!!