Ne vous y trompez pas : lorsque l’Etat prétend protéger les femmes des maris violents, s’occuper des 1000 premiers jours de l’enfant, interdire la fessée ou demain légaliser la GPA, il n’a pas, contrairement aux apparences, pour but ultime d’améliorer la situation des femmes et des enfants.
Son véritable but (même s’il est en partie inconscient) est de délégitimer par toutes sortes de calomnies et de représentations stigmatisantes le fonctionnement spontané de la cellule familiale (et notamment le rôle qu’y joue l’homme) afin d’écraser l’un des derniers modes d’organisation sociale spontané qui résiste encore à sa toute puissance. Il pourra ainsi prélever davantage d’impôts sur des services familiaux qui autrefois échappaient au marché et seront désormais transformés en services marchands, fournir aux entreprises une main-d’oeuvre féminine corvéable à merci (réalité qui survivra à toutes les agitations démagogiques de la Chipie), et endoctriner dès leur plus jeune âges des enfants désormais fabriqués comme des produits industriels. Ni les femmes qui passeront leurs temps dans des RER bondés pour se faire engueuler par un petit chef, ni les enfants qui ne verront plus leurs parents, ni les hommes n’y gagneront rien (si, peut-être les hommes quand même, parce qu’à force d’être criminalisés par les féministes, il décideront massivement d’arrêter de se faire chier et de prendre des coups en essayant de jouer leur rôle de père de famille). Les vrais gagnants, ça sera l’Etat qui raflera plus d’impôts et les entreprises qui verront s’ouvrir de nouveaux marchés juteux liés à la dissolution programmée de la famille, pour lesquels elles emploieront… devinez quoi ?? Une main d’oeuvre féminine précaire à bas coût. Et pendant ce temps-là, les problèmes mentaux et l’anomie sociale monteront en flèche du fait des divers traumatismes psychologiques subis par les enfants perturbés par l’affaiblissement du lien intime avec leurs parents. Emancipation ??? Laissez-moi rire !!! Ca va juste être un beau bordel !!!