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Entre progressisme et populisme

Fake news

On prétend faire une politique culturelle formidable en emballant l’Arc-de-Triomphe et on laisse brûler Notre-Dame.

On prétend faire de Paris un paradis écolo en emmerdant les automobilistes et on laisse la ville-lumière se tiers-mondiser en transformant certains quartiers en camps de migrants où règne l’anarchie.

On prétend renforcer les pays européens par l’Union et en fait on détruit notre industrie par une ouverture incontrôlée à la concurrence asiatique.

On prétend lutter contre les discriminations en créant de nouvelles lois bidons et on ne condamne même pas le type qui a assassiné une vieille femme juive en criant « Allah Akbar » (commode : il était fou, paraît-il).

On prétend protéger le climat en couvrant le pays d’éoliennes hideuses, et on se prive en fait des moyens de maîtriser les émissions carbone en privatisant EDF et en réduisant la part du nucléaire.

On prétend faire de l’égalité femmes-hommes « la cause majeure du quinquennat » en votant des lois débiles qui criminalisent les braves mecs, et on laisse se développer massivement sans rien faire, dans nos banlieues islamisées, une contre-culture, étrangère à nos traditions, de soumission et d’invisibilisation des femmes.

On prétend lutter contre les inégalités par la redistribution et en fait on ruine par la spoliation fiscale les gens honnêtes qui travaillent, qui épargnent, et qui pourraient s’en sortir tous seuls si on ne les accablait pas d’impôts.

Et, in fine, on cherche à nous cacher, en fragmentant l’information et en pratiquant systématiquement le déni de réalité, qu’entre les agressions dans les hôpitaux, les meurtres gratuits, les incendies criminels, les émeutes et la montée en flèche de la délinquance générale, une vague de violence majeure est en train de submerger la France et plus particulièrement Paris.

Alors, où sont les fake news ? Sur Spoutnik et sur les sites patriotes, ou bien dans le discours gouvernemental lénifiant qu’on nous sert depuis des dizaines d’années tout en nous menant, discrètement mais surement, à la catastrophe ?

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