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Dans des temps très anciens, aux confins de la grande steppe de Calchidie, une rivalité ancestrale opposait deux royaumes, la Mastokie et la Femekie. Dans le premier, les hommes exerçaient le pouvoir, alors que, dans le second, régnait une lignée de femmes guerrières. Dans la vaste plaine où ils se faisaient face, entre les Montagnes bleues et la Mer d’argent, ils se livraient à des guerres permanentes pour capturer des esclaves venus de l’autre royaume.
Dans l’empire femek, les esclaves mâles, toujours assez durement traités, étaient affectés à des tâches plus ou moins pénibles selon leurs capacités. Les plus mauvaises têtes étaient envoyées pourrir dans les mines de cuivre où ils étaient maltraités par leurs gardiennes jusqu’à complète soumission. Les plus résistants étaient employés à des travaux de force dans les champs, sous la surveillance constante des paysannes. Les plus dociles étaient affectés à des tâches domestiques, comme la préparation des repas et l’entretien des villas. Parmi eux, certains avaient la chance de plaire à leur maîtresse qui en faisait alors leurs amants-esclaves, parfois entourés de délicates attentions. Enfin, les plus beaux et les plus gracieux étaient envoyés au palais de la Reine Mariak où ils faisaient l’objet d’une dure sélection pour entrer dans l’androcée royal.
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NB : L’idée originelle de cette nouvelle est née de conversations amicales avec Nathalie A., à laquelle l’auteur adresse ses chaleureux remerciements.