Dans ce chapitre, ma mère parle de ses années de jeunesse, une période s’étalant entre la sss Libération et ma naissance en 1957.
A travers ses allées et venues entre Nice et Paris, sa vie d’étudiante, puis de femme mariée, on voit revivre l’atmosphère de la France de l’après-guerre, entre l’atroce révélation des camps de la mort et la joie d’avoir retrouvé la liberté.
Avec les pages consacrées à Jacques Cotta, ancien maire socialiste de Nice, c’est aussi toute une époque de la vie politique française, marquée par l’opposition entre PCF, SFIO et MRP, qui ressurgit devant nos yeux.
Le texte se termine par une évocation de l’effervescence intellectuelle et artistique du Saint Germain-des-Près des années 1950, où émergent les figures de Henri Pichette, Maurice Roche, Edouard Glissant et de mon père, Frédéric de Towarnicki.
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2 réponses sur « Mémoires de ma mère (Chapitre 3) : Une jeunesse d’après-guerre »
Cher Monsieur,
je me suis délecté à la lecture de ce chapitre émouvant, dans lequel vous citez mon défunt père (Marcel CUINAT), chapitre qui m’a fait revivre avec mélancolie une partie des souvenirs familiaux. Mon père était jeune avocat à Nice, dans le cabinet Cotta, puis est venu à Paris dans les années 50.
Merci pour cette publication… sur laquelle je suis tombé par hasard grace à la « magie de google.
Bien à vous,
rémi CUINAT
merci à vous